Baabuk
Tout commence avec une paire de valenkis , ces bottes russes 100 % laine que la maman de Galina ramĂšne en Suisse. Coup de foudre thermique đ : chaudes, durables, Ă©colos, elles traversent les gĂ©nĂ©rations. Dan, ingĂ©nieur bricoleur et curieux, se met Ă googler « comment faire du feutre ». Galina vient dâaccoucher, ils vivent Ă Jakarta, et entre deux biberons Ă leur nouveau-nĂ©, Galina fabrique leurs 8 premiĂšres paires, guidĂ©e par une dame de lâOural spĂ©cialiste de la laine⊠via Skype.
đŻ Sans business plan mais avec beaucoup de culot, ils exposent Ă Munich. RĂ©sultat ? 800 paires commandĂ©es par un distributeur hollandais . Panique ? Non. Dan bricole des machines , et câest parti.
đłđ” Le vrai savoir-faire du feutre ? Câest au NĂ©pal. Ils y montent un atelier Ă©thique. Les baskets, elles, sont fabriquĂ©es au Portugal , dans une rĂ©gion oĂč la laine est un art depuis 100 ans, grĂące Ă un partenaire qui a fait renaĂźtre tout un village.
đ Capsules en laine du Valais, des PyrĂ©nĂ©es ou du PĂ©rou : Baabuk, câest lâADN de la transparence et un rĂȘve un peu fou : redonner Ă la laine la place quâelle mĂ©rite , toute lâannĂ©e, aux pieds et ailleurs. Retrouve Dan et Galina au sein de leur boutique Ă Lausanne pour dĂ©couvrir toutes leurs crĂ©ations!